Le Run 400 de Saint-Leu, sous un soleil de plomb

C’est sous un soleil de plomb que les pilotes ont dû concourir lors du Run 400 de Saint-Leu, et cela non sans peine… puisque de nombreuses voitures ont connu des incidents de surchauffe, à cause de cette intense chaleur. Pas mal de pilotes ont même dû abandonner la compétition.

Les meilleurs chronos de la journée ont été réalisés par :

• Judex avec sa Nissan GTR : 00:09.611
• Romain Sautron avec son Audi RS3 : 00:09.981
• Christophe Caroupaye avec sa Golf R : 00:10.449
• Ryan Tailame avec son Audi RS3 : 00:11.084
• Et Fabrice Sautron avec son Audi S3 : 00:11.248

Cependant, ce sont deux autres voitures que nous présente Théo Reuillon de TN Cars.

C’est d’abord Samsub qui nous parle de sa Subaru année 1998, qu’il a entièrement monté depuis 2006. Rien n’a échappé aux mains expertes de Samsub, pas même la conduite à droite qui est passée à gauche.
Cette Subaru année 98 porte aujourd’hui un châssis, un tableau de bord, un intérieur et un faisceau de 2006. La voiture a subi pas mal de modifications moteur, mais tout en restant assez sobre pour qu’elle reste une voiture utilisable au quotidien.

La Subaru entièrement recouverte d’un covering représentant principalement des Mangas, ne prendra pas le départ sur le Run de Saint-Leu. Samsub est là uniquement pour exposer ce jour-là, mais pas pour concourir. Il a déjà participé à des runs, mais sa Subaru il la préserve. Il s’agit d’une Subaru de 98, 3 portes : ce qui en fait sa rareté.
Son plus grand défit sur cette voiture : sa réparation après que celle-ci ait été brûlée partiellement. Tout le compartiment moteur, le tableau de bord et la caisse avaient été brulés. Et pourtant en voyant la voiture, aucun stigmate de cet incident n’est encore visible.

Pour le second véhicule Théo nous présente la Série 5 de Julien. Cette BMW Série 5 550D, 3 litres tri-turbo XDrive est de 2014. Avec ses stickers « Squid Game », esthétiquement la BMW n’a pas connu beaucoup de modifications. En plus de ses stickers on dénombre juste des jantes 18 et des pneus slicks (pour alléger la voiture qui porte d’origine des jantes 20), un becquet arrière MS Performance de chez BMW, un nouveau volant et plus qu’un siège… celui du conducteur bien évidement.

D’origine à 381 ch, au dernier passage au banc la BMW faisait 574 ch. Aujourd’hui Julien suppose être à + 600 ch grâce à son nouveau turbo. La 4 roues motrices de 2 tonnes de Julien souffre elle aussi de la chaleur ce jour-là. Au moment où son propriétaire nous parle, le moteur est couvert de 2 sacs de glaçons…
La BMW n’arrivera pas a reproduire ses performances habituelles sur les autres runs, à cause du soleil.

Les projets à venir de Julien : préparer une nouvelle voiture, cette fois-ci plus légère que sa Série 5.