La pandémie du Covid-19 et son flot ininterrompu de décès n’est pas étrangère aux ruptures constatées dans le monde du funéraire. Pour le magazine Oovango, Ralph Siniamin, PDG d’une société de services et d’activités funéraires en Martinique nous expose dans ce podcast vidéo sa vision d’un milieu en mutation.
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Une métamorphose des services et activités funéraires
La crise sanitaire du Covid-19 et les nombreux décès qui ont endeuillé les familles, donnent une connotation toute particulière aux fêtes de la Toussaint cette année. Cette pandémie a eu, à n’en pas douter, un impact sur nos rapports au deuil et à la mort.
Mais à en croire Ralph Siniamin, professionnel d’activités funéraires, un mouvement profond, lent et peu visible, s’amorce dans ce milieu traditionnellement conservateur.
PDG d’une société de services et d’activités funéraires, expression préférée à celle de « pompes funèbres », Ralph Siniamin considère que son secteur doit lui aussi s’adapter aux innovations numériques.
Pour ce chef d’entreprise du funéraire, cela peut aider les proches des défunts à apprivoiser la mort et à la rendre, peut-être, moins insupportable. Et ce, dès la douloureuse phase des obsèques, de l’inhumation ou de la crémation.
Des expériences recourant aux outils numériques sont menées dans certains pays à travers le monde. Il envisage de les adapter à sa société.
Une limousine funéraire de marque Jaguar
En attendant, Ralph Siniamin a fait le choix d’un véhicule d’une marque prestigieuse pour conduire les défunts à leur dernière demeure. Une façon, là aussi, de contribuer à apprivoiser la mort ?
Ce véhicule, ne l’appelez pas corbillard, mais plutôt « limousine funéraire ». Construite par la prestigieuse et centenaire maison britannique Wilcox, propriétaire de la marque Jaguar.
Derrière ce choix, il y a toute une histoire. Elle a débuté lors d’un salon funéraire en région parisienne où la famille Wilcox avait présenté sa nouvelle Jaguar dédiée aux cérémonies funéraires.
Histoire que nous raconte Ralph Siniamin dans ce 6ème podcast d’Oovango.
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