Nouvelle DS7 : prise en main prometteuse
Par Laurent Dubois | Le 26/09/2022 | Actu | Essais Auto | Guides & Essais | News

On l’attendait depuis longtemps ! La nouvelle DS7 positionne encore plus DS Automobiles comme un constructeur français haut de gamme. Premières impressions au volant d’une future star à quatre roues.
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Direction Nice, sur la Côte d’Azur, pour une journée particulière ! Au programme, une prise en main de la nouvelle DS7 (terminée l’appellation Crossback), pendant plus de 100 km avec quelques lacets autour du massif de l’Esterel. Sans oublier une pause au bord de la Méditerranée. Pour DS Automobiles, ce lancement est un événement car sa grande sœur totalise plus de 50 % des ventes du constructeur à l’international.
En approchant du véhicule, on remarque immédiatement une face avant dotée d’une nouvelle signature lumineuse grâce aux feux de jour verticaux appelés DS Ligh Veil et inspirés du concept car DS Aero Sport Lounge. L’arrière aussi n’est pas en reste avec des optiques à motif en écailles pour épouser intelligemment les lignes de l’auto. Une allure résolument moderne. À l’intérieur, l’impression de qualité d’assemblage règne, tout comme cela avait été le cas pour la DS4. À l’image de la DS9, la montre à aiguilles BRM est heureusement présente et la diminution des plastiques est flagrante par rapport à la DS7 Crossback. Un bon point même si l’affichage tête haute manque cruellement à l’appel.
De l’hybride rechargeable musclée
Les premiers tours de roues débutent avec la motorisation E-Tense 225 ch. Pas de réelles surprises si ce n’est un confort de roulement omniprésent, y compris sur chaussée déformée. Car, soyons transparent, c’est surtout l’essai de la version E-Tense 360 en quatre roues motrices qui est en tête. Le même ensemble thermique et électrique que sur la DS9 360 testée il y a quelques mois : un 4 cylindres 1,6 litre turbo de 200 ch épaulé par deux moteurs électriques d’environ 110 ch, l’un à l’avant et l’autre à l’arrière. Sauf qu’il y a, cette fois-ci, près de 100 kg de moins à tracter. Avec, aussi, un châssis entièrement revu et rabaissé ainsi que des jantes de 21 pouces armées de pneus Michelin Pilot 4S.
Le résultat est à la hauteur de nos attentes : du punch (0 à 100 km/h en 5,6 secondes), la capacité d’enchaîner les virages sans sourciller et une tenue de route étonnante pour un SUV. On aime déjà ce nouveau joujou de DS Automobiles (78 000 € hors options pour l’E-Tense 360) et tant pis si le confort en pâtit légèrement par rapport aux versions plus sages (à partir de 55 000 €). Il est malheureusement déjà l’heure de rendre les clés, en attendant un essai détaillé lors de la sortie dans les DOM durant le premier trimestre 2023.
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