Volkswagen Polo : la citadine capable de s’échapper de la ville

« Vendu à 18 millions d’exemplaires depuis sa création en 1975, la Polo imaginée pour se déplacer simplement n’a cessé d’évoluer », souligne Volkswagen. Une évolution tout en douceur sur notre version d’essai (de couleur blanc pur avec le toit noir) en comparaison à la 6^e génération sortie en 2017.

Extérieurement, la nouvelle identité des feux et le bandeau Led, sur la calandre à l’avant, attirent immédiatement le regard.

À l’intérieur, la finition, allemande, frise le zéro défaut. Les sièges en velours de haute qualité se feraient presque passer pour de l’alcantara. Des poignées en hauteur pour permettre aux passagers de se maintenir ne seraient pas de trop.

Au volant de la nouvelle Polo de Volkswagen

Sur la route, notre modèle d’essai (1.0 TSI 110ch DSG7 Style) se montre assez nerveux. Comptez à peine plus de 10 s pour atteindre les 100 km/h, même si le son du petit 1.0 litres est peu flatteur en haut dans les tours. De plus, la boîte automatique DSG 7 rapports est un modèle de douceur et de réactivité. Sans oublier le freinage, exceptionnel pour un véhicule de cette gamme. Du coup, on s’amuse vite à tester les limites de la belle et à attaquer au moindre virage. Sans compter que le châssis ne prend pas trop de roulis à allure soutenue.

A noter l’intégration du système IQ. DRIVE Travel Assist (maintien de voie, de vitesse, freinage adapté) est une excellente surprise. Autrement, un vrai gage de sécurité d’habitude présent sur des modèles plus exclusifs. Et si le mode sport reste anecdotique, le chèque de 26 000 €, options comprises, est amplement justifié. Pour acquérir cette nouvelle Polo, il vous faudra attendre la fin décembre dans les DOM. Reste à voir prochainement ce que la version GTI, très alléchante sur le papier avec ses 207 ch (5 000 € supplémentaires), vaudra sur le bitume.